Ordre de la Libération - Souvenirs de Christian Pineau,... - Lot 140 - Beaussant Lefèvre & Associés

Lot 140
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Ordre de la Libération - Souvenirs de Christian Pineau,... - Lot 140 - Beaussant Lefèvre & Associés
Ordre de la Libération - Souvenirs de Christian Pineau, Résistant. Compagnon par décret du 16 octobre 1945. - Une Croix de Compagnon du modèle dit «de Londres» frappée par la Monnaie de Paris avec les matrices provenant de la maison Pinche, en bronze patiné, la croix de Lorraine laquée noire, la poignée du glaive quadrillée sur les côtés, poinçon de la Monnaie de Paris corne d'abondance BR, ruban (63,5 x 31 mm). - Quatre médailles d'identités parlementaires en argent, chacune frappée au revers de l'attribution en relief «C. PINEAU DÉPUTÉ» : 1945-1946, Première Assemblée nationale constituante, par Delannoy, avec étui d'origine (50 mm); 1946, Deuxième Assemblée nationale constituante, par Delannoy (49,5 mm); IVe République, Assemblée nationale, session de 1947, par Baron, avec étui (50 mm); Assemblée Nationale, session de 1951, par Bazor, avec étui (50 mm). France, milieu du XXe siècle. Christian Pineau (1904-995), syndicaliste, résistant de la première heure, il est l'auteur en novembre 1940 du «Manifeste du syndicalisme» ou «Manifeste des Douze». Avec l'aide d'autres syndicalistes, il fonde le réseau «Libération-Nord». Il rédige et publie les 61 premiers numéros du journal hebdomadaire «Libération». Recherché par la Gestapo, il est contraint de passer en zone libre avec sa famille et de s'installer à Vichy où il occupe un poste d'inspecteur du ravitaillement. Le 27 mars 1942, il apporte au Général de Gaulle le soutien des mouvements de résistance et des organisations syndicales. Premier chef de la résistance à être reçu par le Général, celui-ci lui confie une double mission politique et militaire. De retour à son poste à Vichy, il crée les réseaux de renseignements «Cohors» et «Phalanx» oeuvrant pour le Bureau central de Renseignements et d'Action, et diffuse la «Déclaration du général de Gaulle aux mouvements de Résistance». Arrêté en 1942, il réussit à s'échapper lors d'un transfert. Il retourne à Londres en 194
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