Grand tirage photographique représentant... - Lot 1 - Beaussant Lefèvre & Associés

Lot 1
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Grand tirage photographique représentant... - Lot 1 - Beaussant Lefèvre & Associés
Grand tirage photographique représentant un attelage du marquis de Pomereu à Paris, avenue du Bois. Vers 1880. Depuis la construction en 1639 jusqu'aux travaux des années 1870 Au coeur du pays cher à Maupassant, ce château du temps de Louis XIII, très modifié au XIXe siècle, a connu l'existence endormie d'une gentilhommière du pays de Caux pendant deux siècles. Les propriétaires s'appelaient alors Auber, Manneville, Senneville et le château resta dans la même famille jusqu'à nos jours, passant par les femmes à la famille de Pomereu au début du XIXe siècle. Quelques livres de compte conservés dans les archives du château témoignent de l'économie frugale du domaine jusqu'à la révolution. Deux générations plus tard, tout devait changer. Le mariage de Michel de Pomereu et d'Etiennette d'Aligre, héritière à la fois de l'immense fortune du marquis d'Aligre et par sa mère du domaine de Daubeuf, allaient permettre une première série de travaux de restauration à la fin des années 1820. La famille partageait son temps alors entre un hôtel à Paris acquis en 1816, rue de Lille, et le château du Héron dans la vallée de l'Andelle à l'est de Rouen. Daubeuf restait encore pour la famille une résidence tertiaire. Il fallut attendre la fin du second Empire, lorsque le troisième fils, Armand, hérita de Daubeuf en 1867, pour que la maison connaisse les importants travaux qui lui donnèrent son aspect actuel. La partie centrale de la façade fut coiffée, du côté de l'arrivée comme du côté du parc, d'un fronton triangulaire juché sur un socle haut afin d'être de niveau avec une balustrade de pierre qui ceintura la toiture. Celle-ci fut modifiée en 1874 afin de loger deux niveaux de chambres et de greniers avec des lucarnes. Sur les cartes postales et photos anciennes de Daubeuf, on voit la balustrade de pierre qui ne tarda pas à déplaire, puis qu'elle fut enlevée avant 1885. Le chiffre ALP qui orne le portail du château, de même que les armes du fronton (PomereuLuppé) sont ceux d'Armand de
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